Le bob et le bic
Amies, amis, voisines, voisins,
inconnues,inconnus, singes hydrocéphales, singes hydrocéphales,
je ne dirais qu'une chose: attention. Oui attention, et plutôt même deux fois
qu'une, ATTENTION ATTENTION, voilà une bonne chose de faite.
Donc oui, attention. Aux incrédules qui ne sauraient manquer, puisqu'il semble qu'incrédule il doive toujours y avoir, aux forte têtes qui n'en feront qu'à la leur, je poserai cette simple question: combien d'entre vous irait spontanément défier en combat singulier un requin blanc? Même vous sentez comme un instinct vous criant que non, c'est pas la peine, franchement c'est ridicule ces histoires de vouloir se battre, le dialogue est la meilleure solution en cas de litige, se battre, se battre, mais vous n'avez donc que ce mot a la bouche, et l'amitié entre les espèces,vous en faites quoi, le respect de la différence? Voilà, confusément, vous sentez que ca n'est pas vraiment une bonne idée, que vous risquez de vous prendre ce que l'on appelle communément une branlée et risquez fortement de jouer au puzzle avec vos os. Et d'après vous, comment cela se faisse? L'expérience, l'expérience et encore l'expérience mes amis. Des légions de combat d'homme à requin blanc, poings contre nageoires, conclues à chaque fois par une décevante, mais avec honneur, défaite du bipède, ont permis a l'espèce humaine d'ajouter à sa mémoire atavique cette indispensable conclusion : le requin blanc est plus fort que toi mon ami.
Pour continuer cette belle avancée de l'espèce humaine, et ainsi apporter ma bien maigre contribution a la marche de l'Histoire (on se refait pas, j’aime le grand hasch), je vais essayer de vous guider/orienter/aviser par le résultat de ma nouvelle occupation du moment : le film de merde. Vous ne pourrez ainsi plus dire "je ne savais pas", tel le premier pékin lambda se sentant l'envie d'une soupe d'aileron de requin. Bref passons.
Bienvenue chez les ch'tis:
Global:
On braie 2 fois devant ce film: au bout de 10 minutes, quand on se rend compte
qu'il reste plus d'1h30 de "film", et de plaisir, quand on sort de la
salle, enfin libéré.
Reflexions philosophiques associées:
Ca y est, j ai la preuve que j ai été adopté. Si j'étais francais, j'aurai (sou)rit
au moins une fois.
Astèrix aux jeux opympiques:
Global:
Une oeuvre grandiose, un travail hallucinant au service d'une philosophie
audacieuse, téméraire même et parfaitement maitrisée: l'anti-humour.
Reflexions philosophiques associées:
Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain,
quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand
est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce
que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca
finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ?
Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain,
quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand
est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que
ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca
finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ?
Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain,
quand est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ? Putain, quand
est ce que ca finit ? Putain, quand est ce que ca finit ?
Cloverfield:
Global:
Kevin, tu ranges ce téléphone portable et tu prends la caméra que papa t'as
acheté!
Reflexions philosophiques associées:
Il est ou mon seau à vomis? Et pdt que j y pense, j'avais pas acheté des
dolipranes moi?
Next :
Global :
Un film avec Nicolas Cage.
Reflexions philosophiques associées:
Un film avec Nicolas Cage.
Ghost rider :
Global : Un film avec Nicolas Cage.
Reflexions philosophiques associées:
Un film avec Nicolas Cage.
Camping:
Global & Reflexions philosophiques
associées:
Sans commentaire.
Ah si : le bœuf, le ridicule, c’est pas
parce que c’est assumé comme tel que ca l’est moins.
Deja-Vu:
Global :
Denzel Washington porte bien la chemise ample.
Le rebondissement dans le rebondissement d’un rebondissement qu’on croit que
tout est perdu mais que en fait ca rebondit dans le rebondissement d’un
rebondissement qui rebondi et qu’à la fin le gentil gagne, étonnant non ?
Reflexions philosophiques associées :
A tant piller Dick, il doit avoir mal aux os du
bassin.
Hitman:
Global :
Honnètement, je m’attendais à un summun, un paroxysme. Et ben non. De la
série B, C, D …..Z mais qui se regarde sans bouder son plaisir. Ne rien en
attendre, en obtenir à peine plus. Agréable. J’avais pas commandé un grand coca
avec mon double-cheese ?
Reflexions philosophiques associées:
Faut pas pousser non plus hein…
Comme je dis souvent: on a les amis qu on mérite.
Pareil pour les films. J ai choisi cette collections de merde. Je ne m en
plaints pas.